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USAGESPRÉSÉANCES A TABLEPlace d'honneur à droite de la maîtresse de maison. Le protocole des déjeuners et des dîners date du XVIIIe s. Autorités religieuses : dans de nombreuses familles, le ministre du culte (même un simple prêtre) est mis à la 1re place. Autorités étrangères : chefs d'État, représentants des maisons souveraines, ambassadeurs en poste (ordre d'après leur prise de fonctions, sauf pour le nonce qui passe avant tous les autres), simples étrangers méritant des égards particuliers ou invités pour la 1re fois. Noblesse : chefs de familles ayant régné sur la France, sinon seuls princes et ducs ont droit à une place particulière. Les ducs français ont en France la préséance sur les princes des maisons non souveraines. Anciens Pts d'assemblée, chefs de gouvernement, ministres, hauts fonctionnaires : en principe immédiatement après leurs homologues en activité. A rang égal, fonctionnaires et officiers sont placés par ordre d'ancienneté. Dans les dîners privés ou semi-officiels, on tient compte de l'âge, de la notoriété (militaire, scientifique, artistique, littéraire, économique). Les présidents de table peuvent être au centre (à la française) ou en bout de table (à l'anglaise). Si l'on veut honorer simultanément plusieurs personnalités, on peut organiser un repas par petites tables ou une présidence en croix. Pour un repas composé d'autant d'hommes que de femmes, si le nombre des invités est un multiple de 4, la table est présidée par 2 hommes ou 2 femmes ; s'il est un multiple de 4 + 2, la table est présidée par 1 homme et 1 femme. | ||||||||||||||||||||||||
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